Investissez dans une résidence (de tourisme, seniors, étudiants...) pour percevoir des revenus locatifs connus à l'avance et faiblement imposés sans vous soucier de la gestion des locataires.
Grâce au statut LMNP vous pouvez déduire de vos revenus locatifs toutes les charges liées à l'investissement et de ce fait percevoir des loyers nets d'impôt et nets de contributions sociales :
Les revenus en Location Meublée Non Professionnelle sont classés dans la catégorie fiscale des « BIC » (Bénéfices Industriels et Commerciaux) et non celle des revenus fonciers. Grâce au statut Loueur Meublé Non Professionnel, il est possible d'utiliser l'amortissement pour alléger les prélèvements fiscaux et sociaux.
Il n'y a pas de conditions particulières concernant le logement hors le fait qu'il doit être loué meublé.
Pour profiter du statut, l'investisseur doit néanmoins réaliser moins de 23 000 € TTC de recettes annuelles au titre de l'activité de loueur en meublé ou que les recettes de cette activité représentent moins de 50 % de ses revenus globaux. Si ces 2 critères ne sont pas remplis, l'investisseur devra opter pour le statut de LMP (Loueur Meublé Professionnel) et devra s'enregistrer au Registre du Commerce et des sociétés (RCS).
(1) Si les recettes tirées de votre activité de location meublée ne dépassent pas 70 000 euros par an, alors vous relevez du régime micro BIC.
Ce régime autorise un abattement forfaitaire pour frais de 50%. En contrepartie de l'application de cet abattement, les charges engagées pour l'exercice de votre activité ne pourront pas être déduites.
Pour bénéficier du régime micro BIC, vous devez renseigner une déclaration n° 2042 C.
(2) Le régime réel s'applique lorsque vos revenus dépassent les limites d'application du régime micro BIC ou lorsque vous souhaitez déduire le montant précis de vos charges ou amortir votre bien.
Le régime réel d'imposition suppose que vous teniez une comptabilité. Celle-ci doit être conforme au code du commerce et au plan comptable général. Pour cela, vous pouvez faire appel à un expert-comptable. Vous devez déposer une déclaration de résultat n° 2031 et ses annexes (bilan, compte de résultats ...)
L’investissement locatif présente des risques susceptibles de remettre en cause l’équilibre économique de l’opération. L'acquéreur doit apprécier ses engagements et risques fiscaux, financiers et juridiques au regard de sa situation financière et patrimoniale.
La vente en l’état futur d’achèvement (VEFA) et la vente d’immeuble à rénover (VIR) sont des modèles strictement encadrés par la loi afin de protéger au mieux les intérêts des acheteurs et dont les règles sont définies par le Code de la construction et de l’habitation. Toutefois, les risques inhérents à l’activité de promotion immobilière (retards de livraison, modifications de plan initial, liquidation judiciaire du promoteur…) sont à prendre en considération par l’acquéreur.
Un investissement immobilier est à envisager sur le long terme c’est à dire sur une durée supérieure à 15 ans.
Les conditions de revente peuvent varier en fonction de l’évolution du marché immobilier qui est lié à l’offre et à la demande et qui a historiquement connu des périodes de croissance et de baisse. La valeur d’acquisition ne peut donc être garantie à la revente.
Les revenus fonciers proviennent des loyers encaissés. Ils peuvent donc être affectés de manière significative par l’insolvabilité du locataire, la baisse des loyers ou la vacance locative (départ du locataire, difficulté à louer le bien…).*
Dans le cas des résidences de services, la gestion du bien est déléguée par le propriétaire à un exploitant professionnel. L’acquéreur doit être conscient des risques liés à l’exploitant (mauvaise gestion de la résidence, faillite…).
Le non-respect des engagements de location entraîne la perte du bénéfice des incitations fiscales.**
Le bénéfice de ces incitations fiscales entre dans le calcul du plafonnement global de certains avantages fiscaux prévu à l’article 200-0 A du CGI.
La pérennité du statut « Loueur en meublé non professionnel » ne peut être garantie sur la durée de l’investissement.
Le bénéfice de ces incitations fiscales entre dans le calcul du plafonnement global de certains avantages fiscaux prévu à l’article 200-0 A du CGI.
*Ni le promoteur, ni le commercialisateur, ne sont chargés de la mise en location des biens et ne garantissent donc pas le taux d’occupation
** La responsabilité du promoteur et/ou du commercialisateur ne pourra être invoquée en cas de remise en cause et/ou de perte du bénéfice de l’avantage fiscal.